KRASENKOW - Finding Chess Jewels

The Semi-Slav Defense transcends its classification as a mere defensive response to 1.d4. It embodies a dynamic and multifaceted system that offers Black not only solidity in defense but also active counterplay and strategic flexibility. Here’s why the Semi-Slav is more than just a defense:

Rather than passively defending, the Semi-Slav allows Black to counterattack in the center and on the flanks. Moves like …e6-e5 and …c6-c5 often lead to sharp, tactical positions where Black can seize the initiative.

By delaying the development of the knight to f6, Black achieves a solid pawn structure with pawns on d5, e6, and c6. This structure provides a firm foundation for Black’s pieces and restricts White’s options for pawn breaks.

The Semi-Slav leads to strategically rich positions with multiple pawn breaks and piece maneuvers. Both sides must navigate intricate plans, making it a fertile ground for creative play and deep strategic understanding. Within the Semi-Slav, there are numerous variations and sub-variations, each with its own unique characteristics and strategic ideas. Players can tailor their repertoire to suit their style and preferences, whether they prefer solid, positional play or aggressive, tactical battles.

The Semi-Slav has been embraced by many top-level players, including World Champions like Vladimir Kramnik and Viswanathan Anand. Their success with the opening at the highest levels of competition demonstrates its effectiveness and versatility.

In essence, the Semi-Slav Defense transcends its classification as a defensive system by offering Black a rich tapestry of strategic possibilities and dynamic play. It is a complete repertoire choice that can suit a wide range of playing styles and preferences. 173 p.

Weighted with felted bottom Supreme Staunton chess pieces, sculpted in ebony: a precious wood of great density and of a profound blackness. Perfectly polished, shiny and smooth, they are finely sequined, which gives them in light this singular glittering aspect.

They will perfectly suits on a chessboard with squares measuring 55mm.

Titre moyennement explicite : on sait bien ce qu'est une contre-attaque dans le domaine sportif, mais c'est moins évident aux échecs. En fait, le livre nous parle plutôt de défense active et d'opportunités à savoir saisir (les titres des chapitres sont, eux, éloquents : Rendre coup pour coup, réfuter les attaques prématurées, pensée prophylactique, regroupement, simplification) La forme est identique aux précédents opus du GMI paraguayen : un choix de parties commentées en détail, sans beaucoup d'effort de synthèse. Bah, on ne peut pas tout avoir !

« Je voulais, écrit Jean-Philippe Toussaint, que ce livre traite autant des ouvertures que des fins de partie, je voulais que ce livre me raconte, m’invente, me recrée, m’établisse et me prolonge. Je voulais dire ma jeunesse et mon adolescence dans ce livre, je voulais débobiner, depuis ses origines, mes relations avec le jeu d’échecs, je voulais faire du jeu d’échecs le fil d’Ariane de ce livre et remonter ce fil jusqu’aux temps les plus reculés de mon enfance, je voulais qu’il y ait soixante-quatre chapitres dans ce livre, comme les soixante-quatre cases d’un échiquier. »

Construit en 64 courts chapitres, autant que le nombre de cases sur un échiquier, Il y est question  de souvenirs d'enfance, d'amis disparus, de période de confinement, mais c'est aussi, le portrait d'un amateur d'échecs.

Jean-Philippe Toussaint est un écrivain belge auteur de plusieurs romans dont le style se caractérise par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n'ont d'autre signification qu'eux mêmes.

Il a reçu des prix littéraires, dont notamment le prix  victor Rossel et le prix Médicis. 244 pages