OLAFSSON - Bobby Fischer Comes Home

"For me, a draw is not a result at all. If the game develops normally, I never think about a draw. I always think about playing to win. I blame all chess players who play chess to make draw and thus degrade this ancient game!"

"I like fast, "rocket" chess and always play to win. It seems to me that chess was invented precisely to have winners and losers. If someone offers me a draw, I take it as an insult."

"I start every game with the firm intention of finishing it with, or on, the shield!"

"One pawn more or less. I have 8 of them, don't I?"

"I am very pleasant to talk to and very unpleasant to play chess with!"  307 pages Hardcover

Deuxième volume consacré à la plus grande rivalité échiquéenne de tous les temps - et visiblement, il y en aura un troisième. Curieux, d'ailleurs, cette manie de tout faire en trois C'est peut-être parce qu'on est dans une année en 9 Bref, si je tire à la ligne, c'est que je n'ai bien sûr rien d'original à dire sur ce nouvel opus, qui comblera tous les amateurs d'AAO - cf la 16ème partie du match de 86, qui décroche le pompon

Mikhail Tal is one of the most celebrated World Champions in chess history, who confounded his opponents and dazzled chess fans around the world. Seemingly breaking every rule in the book, yet also breaking records with his accomplishments, Tal truly was The Chess Alchemist.

In this unique book, Oleg Stetsko has compiled 80 of Tal’s most interesting games, as annotated by the Magician himself in a variety of sources, many of which have been translated into English for the very first time here.

Mikhail Tal became World Champion in 1960 by defeating the great Mikhail Botvinnik. Tal’s play is famed for its sacrificial brilliance, and he is also renowned as a witty and lively writer. 384 pages

La taille a diminué d'un quart, mais le prix est hélas resté le même... Ce troisième tome est l'occasion de redécouvrir les deux joueurs sans doute les plus sous-estimés de l'histoire des échecs. Parce qu'il ont eu le malheur de régner quand le monde des échecs n'avait d'yeux que pour le ludion Fischer, et parce que leur style était pour l'un difficile à comprendre et pour l'autre difficile à caractériser, Petrosian et Spassky ont parfois été considérés comme des champions au rabais. Leur palmarès et leur valeur méritent pourtant mieux que ce jugement hâtif, et ce volume devrait contribuer à remettre quelque peu les pendules à l'heure - quelque peu seulement, la sélection de parties étant un peu courte pour illustrer d'aussi longues carrières (souvenons-nous que Petrosian fut présent dans les Tournois des Candidats durant 27 ans...). Au passage, on retrouve aussi quelques comparses doués : Portisch, le malchanceux Leonid Stein et, plus étrangement (car ses meilleurs résultats datent de l'ère Karpov), Lev Polougaevsky. Quand au style du livre, inutile d'y revenir : vous commencez à connaître le produit. Rendez-vous sous peu pour un sujet beaucoup plus rebattu : Bobby Fischer...