Version française du bouquin Gambit présenté voici quelques mois. On risque donc de se répéter un peu... Rappelons donc (car cette terminologie n'est pas familière à tous) que la Sicilienne classique, c'est la ligne 2...d6, 5...Cc6 (ou l'inverse) de la Sicilienne ouverte - ligne qui mène usuellement à la Richter-Rauzer ou à la Sozin selon le choix des blancs (6.Fg5 ou 6.Fc4). Contrairement à beaucoup de livres d'ouvertures, celui-ci ne vous donnera pas mal à la tête : 25 parties complètes - pas une de plus - et des commentaires conçus pour présenter les idées générales et les plans d'ensemble. A ce propos, en faisant la critique de la version anglaise, j'avais évidemment fait remarquer que les amateurs retrouveraient avec plaisir (quelques années après l'inoubliable Road to Chess Improvement) le style et la faconde d'Alex Yermolinsky - seulement voilà, on attend toujours la traduction du susmentionné, ce qui signifie que ce qui était retrouvailles pour les anglophones sera découverte pour le public francophone, découverte un peu gâchée hélas par une traduction nettement inférieure à ce à quoi Olibris nous avait habitué. Bon, ne boudons tout de même pas trop notre légitime plaisir : ce n'est pas tous les jours que l'on voit sortir une nouvelle monographie d'ouvertures en français...
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Version française du bouquin Gambit présenté voici quelques mois. On risque donc de se répéter un peu... Rappelons donc (car cette terminologie n'est pas familière à tous) que la Sicilienne classique, c'est la ligne 2...d6, 5...Cc6 (ou l'inverse) de la Sicilienne ouverte - ligne qui mène usuellement à la Richter-Rauzer ou à la Sozin selon le choix des blancs (6.Fg5 ou 6.Fc4). Contrairement à beaucoup de livres d'ouvertures, celui-ci ne vous donnera pas mal à la tête : 25 parties complètes - pas une de plus - et des commentaires conçus pour présenter les idées générales et les plans d'ensemble. A ce propos, en faisant la critique de la version anglaise, j'avais évidemment fait remarquer que les amateurs retrouveraient avec plaisir (quelques années après l'inoubliable Road to Chess Improvement) le style et la faconde d'Alex Yermolinsky - seulement voilà, on attend toujours la traduction du susmentionné, ce qui signifie que ce qui était retrouvailles pour les anglophones sera découverte pour le public francophone, découverte un peu gâchée hélas par une traduction nettement inférieure à ce à quoi Olibris nous avait habitué. Bon, ne boudons tout de même pas trop notre légitime plaisir : ce n'est pas tous les jours que l'on voit sortir une nouvelle monographie d'ouvertures en français...
''Zou, ils ont fait vite Voici donc les troisième et quatrième volumes de la série, trois mois seulement après leurs versions anglaises. Inutile de revenir outre mesure sur la formule (désormais bien connue) ni sur les deux ouvertures traitées ici - sinon peut-être pour trouver un peu chiche le traitement réservé à l'Anglaise.''
Suite et fin de la somme watsonienne - que l'on ne présente plus. Comme on l'avait déjà expliqué à propos de l'édition anglaise, ce 4ème tome (d'une série prévue en 2) explore tout ce qui avait encore été laissé de côté - la Reti, les débuts irréguliers, divers gambits - et se termine par un petit chapitre pratique sur le choix et la préparation de votre répertoire d'ouvertures. Moins essentiel que les deux premiers tomes, mais quand même indispensable.
Olibris nous propose coup sur coup, deux nouvelles traductions de qualité, puisqu'il s'agit de deux ouvrages du GM Viktor Moskalenko dont la réputation d'excellent auteur n'est plus à faire. Sa grande spécialité ce sont les livres d'ouvertures, ou il privilégie d'expliquer les idées importantes plutôt que de vous noyer dans les variantes.
Ici il traite de 2 systèmes hyper trendy; l' attaque Trompowsky et le système de Londres. 201 pages
Pour tous ceux qui sont fâchés avec l'anglais (et je ne parle pas seulement des fans de rugby), voici la traduction du dernier opus magnus de Watson. Félicitons Olibris, et rappelons seulement que le MI américain fait ici le tour de la théorie contemporaine (sur 1.e4), dans une perspective très générale et hautement pédagogique (non, ce n'est pas un gros mot). On pourra juste regretter une ou deux impasses faites par l'auteur (Sveshnikov), mais c'est vraiment histoire de pinailler.
Troisième et dernier tome de la somme watsonienne, en version française (merci Olibris). Rappelons que ce copieux pavé est entièrement consacré à l'Anglaise, sujet de prédilection du MI américain, et qu'il est donc sensiblement plus fouillé que les deux premiers volumes - qui devaient couvrir des sujets autrement plus vastes. En fait, c'est comme pour le mobilier : largeur ou profondeur, c'est toute la question
Le système de Londres one more time..., mais non, il s'agit ici d'un ouvrage pour le contrer, donc du point de vue des noirs.
Les auteurs Kotronias et Ivanov, ne sont pas les premiers venus, il nous présente les choses d'un point de vue objectif, ils proposent aux noirs de disposer eux aussi de lignes jouables et faciles à comprendre qui permettront de neutraliser l'initiative adverse.
Le livre est découpé en quatre parties, qui couvrent les schémas de types Est-indienne, Benoni, Nimzo/Ouest-indienne et Gambit-Dame. 260 pages
''Zou, ils ont fait vite Voici donc les troisième et quatrième volumes de la série, trois mois seulement après leurs versions anglaises. Inutile de revenir outre mesure sur la formule (désormais bien connue) ni sur les deux ouvertures traitées ici - sinon peut-être pour trouver un peu chiche le traitement réservé à l'Anglaise.''