Ce livre est paru chez Gambit en 2009 en anglais. John Nunn est un auteur réputé pour ses analyses profondes et détaillées, ça tombe bien car les finales d'échecs méritent cela. Ce livre s'adresse plutôt à des joueurs ayant déjà une bonne connaissance sur les fins de parties. l'auteur s'est concentré sur trois aspects: la liste des sujets couverts, le choix des positions retenues et la présentation. 235 pages

Marc Quenehen, nous propose un voyage dans le temps en compagnie de Magnus Carlsen, qui démarre en 2000 lorsque Magnus à 9 ans et joue ses premiers tournois et se termine en 2023 et sa victoire en coupe du monde. En 24 chapitres (un par an), L'auteur à succès nous propose les meilleurs parties du champion mais aussi de nombreux  exercices. Un ouvrage à la fois pédagogique et un guide d'entraînement avec comme fil conducteur l'extraordinaire parcours de ce joueur d'exception. 181 pages

Romain Edouard a travaillé  comme secondant avec Topalov et ce durant 4 années, entre 2010 et 2014. De cette association, le GM français a voulu en tirer un livre, qui ne traite pas seulement de l'analyse de parties durant cette période, mais aussi tout le travail effectué en amont, les nombreuses recherches,les coulisses...  lors de ses "magiques années" passées avec le grand joueur qu'est Veselin Topalov.

Ce livre est une édition française d'un ouvrage paru auparavant  (en 2019) en anglais.

272 pages

Il s'agit d'une traduction d'un ouvrage paru en 1974 chez l'ancien éditeur  américain Dover,  Morphy Chess Masterpieces.

On y retrouve 40 parties d'anthologies retraçant l'ensemble de la carrière assez courte, il faut le préciser, du génial Paul Morphy. 

Le tout commenté par Fred Reinfeld.

236 pages

21 ans et déjà deux monographies à son sujet... Bon, pour tout ceux qui ont pris le train en march, voici donc en frnaçais, et en 72 parties commentées assez en détail, le résumé de la carrière du Justin Bieber des échecs, depuis ses premières tétines jusqu'au dernier Wijk aan Zee.

Tout de même, quel cabot, ce Kasparov : se faire arrêter juste pour assurer la promo de son livre Sérieusement, il faut préciser aux fans déchecs que ceci est un livre sur les échecs pour les gens qui ne jouent pas aux échecs puisque on ny trouve quun seul diagramme (celui de la position de départ) et naturellement aucune partie. On peut par contre samuser un moment au jeu des 77 erreurs quant à savoir lesquelles sont dues au cher Garry, lesquelles à la traduc et lesquelles à léditeur, on ne savancera pas.

On a mis un peu de temps à le chroniquer, mais comme il s'agit du deuxième tome de la traduction d'un bouquin sorti il n'y a pas si longtemps et dont on avait abondamment parlé à l'époque - Practical Endgame Play - beyond the basics, pour ceux qui ont oublié - on n'a pas grand chose à vous dire de neuf. Juste à rappeler que c'est certainement un des livres les plus utiles sortis récemment.

David Bronstein, qui fut l'un des talents les plus éclatants des échecs de l'après-guerre, demeure l'une des personnalités les plus atypiques qu'ait produit le système soviétique. Ce livre ne laisse rien ignorer de l'un et l'autre aspect, depuis les entretiens-confessions jusqu'aux très nombreuses parties (220 au total, dont 50 commentées en profondeur et 40 autres plus succinctement) illustrant la carrière de l'ex vice-champion du monde. Le style de Bronstein peut être résumé par une de ses phrases: « Vous n'êtes pas toujours obligé de jouer le meilleur coup. Un coup doit être actif, entreprenant, correct et beau ! ». Serait-ce la recette du bonheur échiquéen ? Pour le lecteur, sans aucun doute...