Tay - Ivanchuk move by move

D'après l'éditeur, voici le tome le plus attendu de la série... C'est bien probable - et c'est bien étrange, car c'est sans doute celui dont on a le moins à attendre. Que raconter de neuf sur le seul champion du monde américain? Nulle carrière n'a été davantage scrutée, peu de parties autant analysées - par Fischer lui-même dans Mes soixante meilleures parties pour celles du début, par le monde des échecs tout entier pour celles de la fin, et par tout auteur à court d'inspiration depuis. Mais un instant - je suis en train de commettre la même erreur que tous ceux qui ont suivi aveuglément une couverture et une publicité tapageuse et réductrice. Car ce tome quatrième n'est pas consacré seulement au sale gosse de Brooklyn. Pour étoffer l'ensemble, les auteurs ont en effet adjoint aux 250 pages consacrées à celui-ci une première partie de presque égale importance portant sur les autres grands champions occidentaux de la période post-Alekhine. Ce qui entraîne au demeurant un curieux téléscopage chronologique, puisqu'on retrouve en particulier Reuben Fine, dont la carrière se termina sensiblement avant que Fischer (et Larsen, lui aussi largement présent) ne commencent la leur. En dehors des deux précités, on retrouvera aussi deux occidentaux accidentels, si on me pardonne cette image plaisante : Miguel (né Moishe) Najdorf et Samuel Reshevsky, qui eurent la mauvaise idée de naître juifs dans la Pologne du début du siècle, et la bonne de la quitter à temps (et même juste à temps pour le futur argentin, qui fit partie de ceux - Eliskases, Pilnik, Pelikan... - qui purent remercier la FIDE d'avoir programmé une Olympiade à Buenos Aires en août-septembre 1939). Après cette première partie forcément intéressante - on ne dispose que de peu, voire de pas du tout de littérature sur tous ces joueurs - vient la portion Fischer. Après une introduction stupéfiante certainement signée Kasparov, qui nous renseigne beaucoup plus sur Kasparov lui-même que sur le sujet théorique, vient un long développement détaillant la trajectoire chaotique du champion américain. Comme toujours, on retrouve l'alternance d'une biographie solide mais sans surprise (et qui ne doit sans doute rien, elle, à l'homme de Bakou) et de parties aux commentaires eux aussi solides, et eux aussi dépourvus de grandes surprises (cf début du texte...).

La suite du premier volume, il s'agit d'une collection d'articles déjà paru sur le web ou dans des magazines (souvent russes), le livre traite de sujets assez généraux et sa lecture en est plus aisée, surtout quand on connait le style de Mark Dvoretsky qui n'est pas toujours très abordable pour le joueur lambda.

C’est le Learn Chess Tactics paru il y a une dizaine d’années chez Gambit – et comme son titre l’indique, c’est un livre destiné aux débutants ambitieux et motivés (motivés car les exemples présentés ne sont tout de même pas ultra-faciles). Tous les thèmes classiques sont passés en revue, les explications sont claires et les 300 (environ) exercices proposés permettront de s’amuser un petit moment.

Durée: 5h

Système requis: Pentium 300 Mhz, 64 Mo RAM, Windows XP, Windows Vista, Windows 7, lecteur DVD-ROM, souris, carte son.

Un livre destiné aux forts joueurs sur le milieu de jeu. Ce n'est pas le premier, ni le dernier, mais Dreev est un joueur et un  auteur très sérieux, on peut donc lui faire confiance et se plonger dedans (par ces grandes chaleurs, ça ne peut pas faire de mal...). 204 pages

Toujours chez Gambit, on retrouve la légende hongroise Lajos Portisch qui nous parle de son ouverture fétiche, l'espagnole. Il nous y dévoile ses secrets. Toutes ses analyses ont été "computer-verified". 80 parties et 160 pages.

Ce set de pièces  en bois d'acacia, au look résolument moderne et très minimaliste, devrait ravir les personnes à la recherche d'un modèle peu conventionnel. Malgré son design, on reconnaitra aisément chaque pièces qui le compose. 

Hauteur du roi: 7 cm

Elles iront parfaitement sur un échiquier  40 x 40 cm

 Terekhin nous propose une sélection de 50  idées récurrentes dans la pratique des maîtres , dont beaucoup sont passées sous silence dans la littérature échiquéenne, voilà donc un ouvrage qui tombe à point!

 Broché - 570 g - 23 x 18,5 cm - 288 pages

Non, il ne s'agit pas d'un traité d'oenologie bien sûr, mais d'un livre d'échecs qui tiendra une belle place dans votre bibliothèque. On ne présente plus Mihail Marin, GM et auteur de nombreux ouvrages de haute tenue. Il s'agit ici, d'une compilation d'articles  pour certains déjà parus dans des informateurs d'échecs, mais d'autres n'ont jamais été publiés auparavant.

Au travers de ce titre énigmatique, Marin, veut nous démontrer que certains thèmes et concepts stratégiques et tactiques importants  très anciens, sont toujours d'actualité.

De nombreuses illustrations d'art complètent l'ouvrage. Un joli et bon bouquin d'échecs. 

Voici le livre d'exercices et d'applications du best-seller du même auteur, le GM espagnol, Jesus de la Villa,  100 Endgames you must know  .

285 pages

Simon Williams est un GM qui a la cote auprès des joueurs d'échecs, il est très didactique et pédagogique, ce cours de plus de 4 heures sur le système de Londres ne devrais pas déroger à la règle. Ce DVD est interactif. À la fin l’auteur vous met à contribution et vous pose des questions. À vous de réfléchir et de proposer votre solution sur l’écran. Le GM Williams,  commente ensuite vos suggestions dans des clips vidéos séparés.

Ce livre écrit par le GM Sergey Kasparov est le premier d'une série qui nous propose d'étudier chaque pièce de l'échiquier, ses forces et ses faiblesses et ce du début jusqu'à la fin de la partie. Ici en l'occurrence, il s'agit du fou. 248 pages

il s'agit cette fois d'un répertoire pour les blancs écrit par Damian Lemos un GM argentin. Comme il le précise dans son avant propos, il a voulu proposer un répertoire basé sur des fondations solides  et se concentrer sur les plans stratégiques ainsi qu'une bonne compréhension du jeu positionnel. 252 pages

Ce transformateur peut être utilisé avec le  le Chess Genius Pro ou son petit frère, le Chess Genius

Du coup, plus besoin de mettre des piles.