Lakdawala - 1...b6 move by move
Le grand intérêt de jouer b6 c'est que ça peut être utilisé contre différentes ouvertures des blancs et l'ami Cyrus est fidèle au rdv pour son livre du mois!
Le grand intérêt de jouer b6 c'est que ça peut être utilisé contre différentes ouvertures des blancs et l'ami Cyrus est fidèle au rdv pour son livre du mois!
Depuis 6 ans que Quality Chess nous propose sa série GM repertoire, nous n'avions pas encore eu les honneurs d'un livre relevé comme le reste de la collection avec 1.e4.
C'est maintenant chose faite avec le jeune et brillant top grand-maître indien qui nous propose son propre répertoire avec e4 contre la française qui couvre la moitié du livre, la Caro toujours universelle, et la Philidor qui revient à la mode.
Assurément, l'un des titres phares de la rentrée!
L'une des plus anciennnes variantes de la Ruy-Lopez 1.e4 e5 2.Cf3 Cc6 3.Fb5 Cge7
voilà le troisième et dernier volume des livres de Kornev
Voici donc le deuxième volume d'une série consacrée à un répertoire pour les blancs, qui en comportera trois au total. ce volume couvre les défenses en fianchetto.
Graham Burgess, auteur de qualité, nous revient avec un bon livre de répertoire pour les blancs à tendances rusées, basé sur d4 et Cf3.
L'Espagnole ouverte, une des variantes principales mais sous-estimée dans la partie espagnole et surtout peu couverte dans la littérature échiquéenne. Le dernier livre couvrant la variantes était celui de Glenn Flear et datait de 2000. Gloire à toi, Mikhalevski!
Ce n'est pas vraiment l'ouverture qui colle à la série...Les variantes proposées sont plutôt prudentes, mais pour les amateurs de belles espagnoles, le livre vaut son pesant de pesos: On y parle de berlinoises, de combattre la variante d'échange, de la variante d'Aronian, de la Chigorin ouverte, de la nouvelle manière de jouer d3 et encore bien d'autres idées pour revigorer votre répertoire.
Après la Slave, voci donc l'espagnole ce qui n'est jamais une mauvaise idée pour démarrer une collection sur la théorie des ouvertures, tant celle-ci reste à la fois performante et hautement instructive. Après une première partie consacrée aux variantes avec d3 (juste pour éviter d'envoyer les complets débutants à l'abattoir), l'ami Mc Do nous fait (re)découvrir tous les thèmes classiques et toutes les grandes variantes. Clair, plaisant, intéressant, utile
Lakdawala, 1d6 move by move
Les “Move by move” continuent à sortir à un rythme soutenu : après avoir exploré trois grands sujets (la Slave, l'Espagnole et la Nimzo), la série s'offre une excursion en territoire moins défriché (en fait, presque pas défriché du tout) puisque le 1d6 dont il est question ici n'est ni la Pirc, ni la néo-Philidor, mais la défense Tchèque (ou Pribyl), i.e. d6-c6-Fg4. Sujet original et exposé parfaitement didactique : que demander de plus ?
Chess Evolution - November 2011
Nous interrompons le cours de nos programmes pour annoncer une nouvelle attristante : après une longue et pénible maladie, le milieu de jeu est décédé hier C'est du moins ce qui ressort de la couverture de cette cinquième livraison de Chess Evolution, qui nous présente une nouveauté théorique au 41ème coup, dans une finale de tours bien entamée A part ça, les 48 parties présentées ici vous en apprendront un peu plus sur l'évolution du jeu au plus haut niveau.
Les amateurs des S.O.S. (pour Secrets des Suprises dans les ouvertures) vont à nouveau y trouver de quoi remettre à jour leur répertoires d'ouvertures. De nombreuses sorties des variantes principales vous seront proposées, souvent dans les tous premiers coups.
De quoi à nouveau vous amuser tout en surprenant vos adversaires.
Un rappel d'abord pour ceux qui ne maîtrise pas complètement l'anglais, 'strategic' se traduit par 1 d4 . Ce cher John nous offre un répertoire fouillé et hautement raisonnable, mélange de variantes bien rodées (Carlsbad, Nimzo Rubinstein) de trucs à la mode destinés à éviter la théorie (e3 contre la Slave) et de machins un peu plus marginaux (5.h3 conte l'Est indienne). Bonnes explications comme d'habitude. Recommandable!
Comme on n'est jamais bien sûr avec l'Espagnole, précisons qu'il s'agit de l'attaquer du côté noir de la contre-attaquer, en somme. Le livre se compose en fait de trois parties complètement disjointes : une sur la Marshall (banal), une sur la Schliemann/Jaenisch (moins banal, mais plus risqué) et la troisième sur la Gajewski. ??!!?!!! Vérification faite, c'est une Espagnole fermée avec 9Ca5 et 10d5 - si ça marche à long terme, je bouffe mon chapeau, mais ça devrait faire une sale surprise aux blancs pendant quelques temps
De temps à autre, il arrive qu'un livre d'ouvertures s'arrache à sa modeste condition (manuel de référence à l'usage des pratiquants de ladite ouverture) et parvienne à se hisser sur l'Olympe de l'édition échiquéenne, parmi les ouvrages que l'on peut recommander sans réserve à tous les joueurs, indépendamment de leur répertoire. La recette alchimique permettant cette miraculeuse transmutation est toujours la même : une ouverture typée et riche d'enseignements généraux, un auteur qui connaisse son sujet (quelques centaines de parties avec l'ouverture en question ne font pas de mal) et qui soit accessoirement capable de causer convenablement la langue de Staunton (ne mêlons pas Shakespeare à ces turpitudes). Bref, si je me suis lancé dans ce copieux préambule, c'est que nous sommes d'évidence en plein dans ce cas de figure : un sujet richissime servi par un auteur chevronné, praticien accompli (avec les deux camps) de la bête. Le sujet, pour ceux qui n'auraient pas encore percuté, c'est donc l'Espagnole fermée. Terriblement intimidante, et même vaguement rébarbative, elle reste par excellence l'ouverture à pratiquer pour progresser positionnellement. Empire de la manoeuvre et royaume du timing, elle résume à elle seule un des aspects les plus profonds, complexes et fascinants du jeu d'échecs. Evidemment, sur un tel sujet, l'approche Everyman (parties complètes commentées) prend toute sa valeur - il est plutôt dommage de stopper une Tchigorine ou une Zaitsev au 27ème coup pour affirmer péremptoirement que 'les blancs sont un peu mieux'... En face de toute cette fanfare de points positifs, un bémol s'impose tout de même : le GMI britannique (et presque français) n'a guère visé le public des débutants, négligeant d'insister sur les principes généraux de l'ouverture, sans doute supposés connus. C'est dommage - mais tout de même, voici le livre de référence sur un sujet primordial. Est-il besoin d'en dire plus ?