Rozentalis - The Correct Exchange in the Endgame
Dans ce livre, le GM Rozentalis nous parle de la phase complexe dans la finale, lorsqu'il faut faire un échange de pièces, quand?, ou?, lequel? 135 pages
Dans ce livre, le GM Rozentalis nous parle de la phase complexe dans la finale, lorsqu'il faut faire un échange de pièces, quand?, ou?, lequel? 135 pages
Karsten Muller est sans doute l'auteur le plus réputé sur les finales. Les finales de tours étant assez courantes aux échecs, la théorie à leur sujet évolue bien sûr. Cet ouvrage ravira donc tous les amateurs et les pros également (l'aspirine n'est pas incluse avec le livre). 288 pages
L'informateur des échecs fête ses 50 ans de parution cette année. c'est donc un n° anniversaire avec beaucoup d'articles sur l'actualité échiquéenne récente. Heureusement, il est fini le temps de l'informateur qui ne contenait que des parties annotées. 343 pages
il y sera question de nouveautés dans la variante Rubinstein de la française, de la Sinquefield Cup vue sous différents angles avec le retour d'Aronian, des analyses sur la défense est-indienne avec 6.h3, du mauvais tournoi du roi Magnus dans son propre pays, de sicilienne c3 et d'encore biens d'autres choses. 351 pages
Nouvelle édition d'un ouvrage traitant des finales à connaitre absolument selon l'auteur... ce qui avait fait le succès des éditions précédentes, c'était le style très clair de l'auteur qui se pliait en 4 pour vous aider à mieux comprendre ce sujet ardu que sont les finales aux échecs. Cette quatrième édition n'y dérogera pas. 250 pages
50 leçons sur les finales écrit par Karsten Müller, l'un des plus fameux auteurs de livres de finales, ça ne peut qu'être forcément bon, surtout si c'est destiné aux enfants.
Voici le dernier Informateur des échecs, qui continue sa refonte, histoire de se mettre à la hauteur de la concurrence (Yearbook New in Chess et bases de données Chessbase), on a donc droit a plus de la moitié du livre sur des articles concernant l'actualité des tournois(Final Grand Prix, Open Dubai,...), des articles de fond sur les variantes à la mode (sicilienne Taimanov par Morozevich, partie italienne par Marin,...) ou sur des joueurs (Harikrishna, Bauer, Nakamura,...). Avec cette qualité d'ensemble, l'informateur retrouvera son statut d'antan de Bible du joueur d'échecs.
342 pages.
L'année démarre avec le nouvel informateur et c'est vrai qu'il est vraiment nouveau, le staff éditorial a décidé déjà depuis quelques numéros de changer son contenu et de le moderniser, avec succès d'ailleurs!
Le cinquième volume d'Aagaard, dans la série GM Preparation, hardcover bien sûr. On est pas là pour rigoler avec Jacob, à l'aide de nombreux exemples, tirés de parties récentes, vous devriez progresser, mais attention ce livre est destiné pour (très) forts joueurs.
New in Chess a eu la bonne idée de resortir cet excellent livre sur les fins de parties qui était épuisé depuis déjà quelques années et le livre y gagne en volume par rapport à l'édition précédente, avec plus de 250 nouveaux exemples pour cette quatrième édition.
Au total, plus de 1300 pièges et trucs dans les finales.
Si vous ne l'avez pas encore, n'hésitez pas à vous procurer ce livre et vous verrez, l'étude des finales, ce n'est pas si barbant!
30 ans après la première édition,voilà une mise à jour non dénuée d'intérêt quand on sait que statistiquement, 80% des finales d'échecs le sont avec des tours.
Pour rappel, pour les distraits et les martiens, le yearbook de new in chess c'est l'annuaire trimestriel pour tous les joueurs d'échecs qui veulent se tenir au courant des derniers développement et nouveautées en matière d' ouvertures. Voici donc le dernier n° qui ne déroge pas à la règle, au menu des idées en pagaille (cf. le détail ci-dessous), que vous pourrez tester durant les tournois d'été...
Le plus célèbre des entraîneurs reprend et développe ici un thème introduit dans son Endgame Manual, à savoir, la boulette. Oui, enfin, je veux dire qu'il se propose de vous faire découvrir le monde merveilleux et dangereux des finales à travers les imprécisions, erreurs, gaffes et gamelles des champions. C'est moins fondamental que d'autres ouvrages du bonhomme, mais c'est souvent amusant, toujours instructif, et au fond si rassurant...
Ayant changé de centaine, de millésime et de prix (tous dans le sens ascendant), le Yearbook continue son bonhomme de chemin, nous entretenant ici entre autres de la variante Topalov dans l'Anti-Grünfeld (une nouveauté au cinquième coup ? Il se croit encore au XIXème siècle, le Bulgare !), de la variante westphalienne de la Nimzo (non, je ne connaissais pas non plus), et de diverses choses dans la Slave et la Sicilienne (époque oblige). Indispensable, comme toujours.