€30.00
Quelle avalanche, mes aïeux ! Comme disait ma mère, ”N’en jetez plus, la cour est pleine”… A 24 heures d’intervalle nous sont donc arrivés les deux livres les plus attendus de cette année 2003 : après le Kasparov, le Watson. Ce dernier est bien évidemment la suite de Secrets of Modern Chess Strategy, que tout échéphile conséquent (et anglophone) a déjà dû dévorer plusieurs fois. Ce deuxième opus s’en distingue dès l’abord par un plan plus simple, composé de quatre parties à peu près égales. Les trois premières concernent respectivement les principes généraux (centre, développement, espace…), le jeu des pions, et l’utilisation des différentes pièces. L’auteur y revient en détail sur les concepts les plus importants de SOMCS (le sigle est de lui, autant s’y habituer), et en développe d’autres seulement survolés précédemment (attaque accélérée des pions de l’aile, sortie précoce de la dame…). La dernière section consiste en 35 parties modernes (ou plus exactement 34 modernes et 1 hypermoderne…) commentées à la lumière des enseignements des deux volumes – qu’elles contribuent dans le même temps à éclairer, en un aller-retour qui est la base même du projet. Richesse de la matière, pertinence de l’analyse, qualité du style… Est-il besoin de dire qu’il s’agit là de la lecture la plus recommandée du moment ?
Quelle avalanche, mes aïeux ! Comme disait ma mère, ”N’en jetez plus, la cour est pleine”… A 24 heures d’intervalle nous sont donc arrivés les deux livres les plus attendus de cette année 2003 : après le Kasparov, le Watson. Ce dernier est bien évidemment la suite de Secrets of Modern Chess Strategy, que tout échéphile conséquent (et anglophone) a déjà dû dévorer plusieurs fois. Ce deuxième opus s’en distingue dès l’abord par un plan plus simple, composé de quatre parties à peu près égales. Les trois premières concernent respectivement les principes généraux (centre, développement, espace…), le jeu des pions, et l’utilisation des différentes pièces. L’auteur y revient en détail sur les concepts les plus importants de SOMCS (le sigle est de lui, autant s’y habituer), et en développe d’autres seulement survolés précédemment (attaque accélérée des pions de l’aile, sortie précoce de la dame…). La dernière section consiste en 35 parties modernes (ou plus exactement 34 modernes et 1 hypermoderne…) commentées à la lumière des enseignements des deux volumes – qu’elles contribuent dans le même temps à éclairer, en un aller-retour qui est la base même du projet. Richesse de la matière, pertinence de l’analyse, qualité du style… Est-il besoin de dire qu’il s’agit là de la lecture la plus recommandée du moment ?