€39.00
La taille a diminué d’un quart, mais le prix est hélas resté le même… Ce troisième tome est l’occasion de redécouvrir les deux joueurs sans doute les plus sous-estimés de l’histoire des échecs. Parce qu’il ont eu le malheur de régner quand le monde des échecs n’avait d’yeux que pour le ludion Fischer, et parce que leur style était pour l’un difficile à comprendre et pour l’autre difficile à caractériser, Petrosian et Spassky ont parfois été considérés comme des champions au rabais. Leur palmarès et leur valeur méritent pourtant mieux que ce jugement hâtif, et ce volume devrait contribuer à remettre quelque peu les pendules à l’heure – quelque peu seulement, la sélection de parties étant un peu courte pour illustrer d’aussi longues carrières (souvenons-nous que Petrosian fut présent dans les Tournois des Candidats durant 27 ans…). Au passage, on retrouve aussi quelques comparses doués : Portisch, le malchanceux Leonid Stein et, plus étrangement (car ses meilleurs résultats datent de l’ère Karpov), Lev Polougaevsky. Quand au style du livre, inutile d’y revenir : vous commencez à connaître le produit. Rendez-vous sous peu pour un sujet beaucoup plus rebattu : Bobby Fischer…
La taille a diminué d’un quart, mais le prix est hélas resté le même… Ce troisième tome est l’occasion de redécouvrir les deux joueurs sans doute les plus sous-estimés de l’histoire des échecs. Parce qu’il ont eu le malheur de régner quand le monde des échecs n’avait d’yeux que pour le ludion Fischer, et parce que leur style était pour l’un difficile à comprendre et pour l’autre difficile à caractériser, Petrosian et Spassky ont parfois été considérés comme des champions au rabais. Leur palmarès et leur valeur méritent pourtant mieux que ce jugement hâtif, et ce volume devrait contribuer à remettre quelque peu les pendules à l’heure – quelque peu seulement, la sélection de parties étant un peu courte pour illustrer d’aussi longues carrières (souvenons-nous que Petrosian fut présent dans les Tournois des Candidats durant 27 ans…). Au passage, on retrouve aussi quelques comparses doués : Portisch, le malchanceux Leonid Stein et, plus étrangement (car ses meilleurs résultats datent de l’ère Karpov), Lev Polougaevsky. Quand au style du livre, inutile d’y revenir : vous commencez à connaître le produit. Rendez-vous sous peu pour un sujet beaucoup plus rebattu : Bobby Fischer…