Même sujet, même auteur et même éditeur... Dans ces conditions, une question s'impose : qu'est-ce qui différencie ce Play the King's Indian du bien connu (et très apprécié) Starting out the King's Indian? En deux mots : le point de vue, et le niveau. Le point de vue adopté ici est exclusivement celui des noirs - il s'agit en effet, comme le Play the French de Watson, d'un répertoire à leur usage. Le GMI anglais nous propose deux lignes de jeu contre la variante classique (la ligne principale 7...Cc6 pour les bosseurs), la variante latérale 7...Ca6 pour les feignants) et une contre chacune des autres variantes (6...c5 contre la Sämisch, 6...c5 9...Fg4 contre la Quatre pions, 6...Ca6 contre l'Averbakh, et naturellement la variante Gallagher contre le Fianchetto). Comme on le voit, il n'a pas vraiment pris les raccourcis : tout au plus évite-t-on quelques-unes des variantes les plus pointues (9...Te8 dans la Quatre pions, par exemple), mais les lignes proposées n'ont rien de marginal ni d'exotique. Deuxième différence donc, le niveau des analyses : tout simplement, ce livre suppose d'avoir déjà assimilé la matière de son grand frère. On n'y revient pas sur les principes de base, et les commentaires des 74 parties complètes sont nettement plus longs et détaillés que ceux du Starting out. Tout ceci pousse à un verdict d'une grande simplicité : si vous avez lu et apprécié le Starting out et désirez vous lancer vraiment dans l'Est-indienne, ce PKID (eh, j'ai le droit : dans le bouquin, Gallagher n'arrête pas de se référer au SOKID...) est un complément plus que bienvenu : presque indispensable. Si vous n'avez pas encore lu le Starting out... non, c'est idiot, vous ne seriez pas en train de lire cette critique. Dans tout autre cas, l'approche partielle de ce nouvel opus le rend évidemment moins utile que n'importe quel ouvrage global. Play the King's Indian... Pour une fois, voilà en tout cas un titre qui annonce parfaitement le programme. Eh, flûte, j'aurais pu m'épargner une heure de boulot !
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Même sujet, même auteur et même éditeur... Dans ces conditions, une question s'impose : qu'est-ce qui différencie ce Play the King's Indian du bien connu (et très apprécié) Starting out the King's Indian? En deux mots : le point de vue, et le niveau. Le point de vue adopté ici est exclusivement celui des noirs - il s'agit en effet, comme le Play the French de Watson, d'un répertoire à leur usage. Le GMI anglais nous propose deux lignes de jeu contre la variante classique (la ligne principale 7...Cc6 pour les bosseurs), la variante latérale 7...Ca6 pour les feignants) et une contre chacune des autres variantes (6...c5 contre la Sämisch, 6...c5 9...Fg4 contre la Quatre pions, 6...Ca6 contre l'Averbakh, et naturellement la variante Gallagher contre le Fianchetto). Comme on le voit, il n'a pas vraiment pris les raccourcis : tout au plus évite-t-on quelques-unes des variantes les plus pointues (9...Te8 dans la Quatre pions, par exemple), mais les lignes proposées n'ont rien de marginal ni d'exotique. Deuxième différence donc, le niveau des analyses : tout simplement, ce livre suppose d'avoir déjà assimilé la matière de son grand frère. On n'y revient pas sur les principes de base, et les commentaires des 74 parties complètes sont nettement plus longs et détaillés que ceux du Starting out. Tout ceci pousse à un verdict d'une grande simplicité : si vous avez lu et apprécié le Starting out et désirez vous lancer vraiment dans l'Est-indienne, ce PKID (eh, j'ai le droit : dans le bouquin, Gallagher n'arrête pas de se référer au SOKID...) est un complément plus que bienvenu : presque indispensable. Si vous n'avez pas encore lu le Starting out... non, c'est idiot, vous ne seriez pas en train de lire cette critique. Dans tout autre cas, l'approche partielle de ce nouvel opus le rend évidemment moins utile que n'importe quel ouvrage global. Play the King's Indian... Pour une fois, voilà en tout cas un titre qui annonce parfaitement le programme. Eh, flûte, j'aurais pu m'épargner une heure de boulot !
Le GM Ilya Smirin est un très fort GM et en plus il est spécialiste de l'est indienne. Il est donc l'homme de la situation pour nous parler de l'une des défenses les plus dynamiques contre 1.d4
A tous les joueurs de défense est indienne, voici le second volume du GM grec grand spécialiste de la bête. Ce volume traite de la variante principale de la Mar del Plata qui n'a rien à voir avec la mare au fond du jardin ni même encore dans l'actualité économique grecque, avec la marre de la BCE. Pour plus de détails sur la variante, veuillez regarder les scans des photos couverture arrière et table des matières.
Un nouvelle approche pour étudier les ouvertures, c'est ce que nous proposent les MI danois Esben Lund et Andreas Skytte Hagen dans cet ouvrage de chez Quality chess. Plutôt que d'étudier les variantes et les coups à l'aide de parties, celui ci vous propose à l'instar des livres d'exercices, 400 positions sur la défense est-indienne. 270 pages
De prime abord, cette attaque pourrait sembler farfelue (1 d4 Cf6 2 c4 g6 3 h4!) voir tomber dans le bizarre, mais si vous la connaisez bien, vous prendrez l'initiative et les noirs auront beaucoup de mal à vous contrer.
L'attaque Harry est facile à apprendre et est parfaite pour déstabiliser les joueurs imprégnés de la théorie de leurs défenses indiennes préférées.
Richard Palliser et Simon Williams (GingerGM) fournissent avec cet ouvrage, un guide complet de cette ligne originale.
Je ne sais pas si c'est seulement moi, mais l'Est-indienne m'a toujours un peu fait l'effet d'une ouverture de pochtron - l'équivalent échiquéen du viens-z'y si t'es un homme qui égaye si souvent nos samedis soir bistrotiers... Eh bien, l'attaque des qu
Deux précisions nécessaires : K.I.D., c'est toujours l'Est-Indienne (par parenthèse, ils lui en veulent vraiment - après le Beat the K.I.D. de Markos il y a peu...) et on ne sait pas ce que le ''1'' fout dans le titre, puisque l'auteur précise en préface n'avoir aucune intention d'en faire un deuxième. Pour le reste, ça cause de l'attaque des 4 pions, avec accent mis sur les transformations en Benoni, majoritaires ces temps-ci. Et c'est, comme d'habitude, truffé d'analyses originales.
Note extrêmement importante concernant le titre : il ne faut évidemment pas traduire par ' tabasser le gamin ', mais par ' battre l'Est-indienne '. Comment ça, ça va sans dire ? Mouais, bah le laissez pas traîner n'importe où quand même : on vous aura prévenu Ah, oui : c'est contre l'Est-indienne donc, et il y a trois variantes proposées : la Krasenkow (5.Cf3, 6.h3) pour l'originalité, l'attaque à la baïonnette (9.b4) pour la marrade et la Classique (avec 9.Ce1) pour la solidité.
Voici le nouveau move by move qu traite de l'est indienne, une défense universelle, alors bien sûr les puristes et spécialistes de la bête trouveront l'ouvrage de Samuel Collins un peu light et à ceux là nous leur proposerons les ouvrages de Kotronias (4 volumes) de chez Quality Chess. Pour les autres, ce livre conviendra et leur apportera une meilleure compréhension de l'est indienne. 239 pages
Le livre se divise en deux, la première contient toute une série de parties récentes, contenant des doubles Fianchetto, joués dans des Est-Indienne, des Gambit-Dame et des Tarrasch, notamment. Ensuite, la deuxième partie plus importante, contient une centaine d'exercices sur le sujet qui vous permettront d'appréhender mieux les différentes techniques lorsque vous y serez confronté. 347 pages
Ce livre vous donnera toutes les informations sur la très vénérable défense Vieille indienne qui comme la disait John Nunn dans son livre "Nunn's Chess Openings" avait la réputation d'est indienne du pauvre...Pour rappel, l'Old Indian commence par 1d4Cf6 2c4d6, et malgré cette "bad" réputation, elle est solide et plus facile que d'autres a assimilée, surtout pour le joueur d'est indienne. 496 pages
Du Chess Stars pur jus : copieux, dense, solide, et beaucoup, beaucoup plus fait pour bosser que pour rigoler - en un mot plutôt qu'en cent : professionnel. Inutile de s'étendre sur le choix des variantes : que des lignes principales ici, prévues pour résister à tout ce que les blancs pourront envoyer à l'assaut de votre KID. Un dernier détail en forme de rappel : le GMI moldave est l'un des spécialistes reconnus de cette ouverture.
Série bien connue (ter) : ce nouveau ' Dangerous Weapons ' est consacré à la reine des défenses anti-d4 : l'Est-indienne. Quatorze variantes blanches ou noires sont présentées ici, la plupart concernant l'attaque des quatre pions et la variante classique (quatre chapitres pièce). Ma préférée : la variante Karklins-Ilincic (quel nom !), qui a tellement l'air d'une idée de mazette qu'elle ne peut pas être vraiment mauvaise
Vous connaissez la Samisch moderne? Vous connaissez Eric Montany?
Quelques précisions, la Samisch est un système pour contrer la défense est indienne et la version moderne préconise Fg5 plutôt que le classique e3. Pour ce qui est de Eric Montany, il s'agit d'un MI américain spécialiste de l'engin et c'est son premier livre. 368 pages
Bologan, un auteur réputé, l'Est indienne, un arme redoutable entre vos mains... Comme il l'avait fait auparavant dans l'un de ses livres à succès, Bologan's Black Weapons , il propose deux options pour chaque cas de figure. Un répertoire complet pour les noirs basé sur la K.I. 448 pages